mardi 8 janvier 2008

A l'imagination...

Les rêves que tu me dessines fluidifient mes sens.

Toutes les parcelles de mon corps croisent invariablement et sans répit l'urgence d'une vie orchestrée de tendresse. J'aime déjà abriter ce regard, percevoir le déferlement de tes dons et ajouter aux miens les délices de ta franchise.



Les rêves que tu me dessines ont ces couleurs inédites, infatigables et délinquantes de l'âme qui explose et se ressoude dans un nouvel éclat.



Tu me deviens irréversible.

Tu me souviens l'invraisemblable.



Ch. Le Fort.